Sapho

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Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux
Sapho
vers 1855
esquisse en plâtre
H. 25 ; L. 31 ; P. 14 cm
Achat, 2003
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Jean-Baptiste Carpeaux (1827 - 1875)
Oeuvre non exposée en salle actuellement

Si la vivacité de Carpeaux se retrouve dans ses lettres et ses dessins, elle s'exprime par-dessus tout dans ses esquisses modelées. Les figures méditatives, comme sur ce plâtre qui figure à la deuxième vente de l'atelier Carpeaux en décembre 1913, y sont peu nombreuses. Citons le Guerrier pensif (Paris, Petit Palais), ou encore Napoléon 1er assis et le buste de la Palombella (exemplaires au musée d'Orsay). L'esquisse de Sapho, dont on ne connaît pas de version définitive, appartient à ce registre, comme en témoigne son autre titre : Femme assise méditant.
La sculpture littéraire est l'une des caractéristiques du XIXe siècle, ce qui explique pourquoi la poétesse Sapho constitue un thème récurrent au musée d'Orsay. La nef s'ouvre sur la Sapho en marbre de James Pradier (1852), et on y trouve également exposés un plâtre patiné en terre cuite d'Eugène Guillaume (1876) et une statuette en terre cuite de Jules Desbois (1907). Ces oeuvres participent de l'engouement pour le style néo-grec qui fascine le second Empire.