Les Âges de l'ouvrier

Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric
Les Âges de l'ouvrier
entre 1895 et 1897
huile sur toile
H. 163,0 ; L. 94,5 cm.
Achat à Léon Frédéric au Salon de la Société nationale des beaux-arts, 1898
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
Léon Frédéric - Les Âges de l'ouvrier
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Léon Frédéric (1856 - 1940)
Niveau médian, Salle 58

A lo largo de su carrera, el pintor simbolista bruselense, Léon Frédéric, inscribió su obra en la gran tradición barroca flamenca. No duda en recurrir a la disposición antigua, bajo la forma de tríptico, y en llenar cada panel de una concurrida y potentemente expresiva muchedumbre, por sus gestos como en sus poses. Los tres paneles reunidos bajo el nombre Las edades del obrero, proceden de este orden que pone en escena decenas de personajes. El panel izquierdo privilegia la representación de los hombres y de los trabajos de fuerza; el panel derecho, las mujeres en sus funciones maternas. En medio, la infancia y la juventud, desfilan los que dejan el colegio, el taller o las obras.
Contrapunto de esta marea humana que se dirige hacia el espectador, en el centro del cuadro, la comitiva fúnebre se aleja hacia el fondo, evocando el ineluctable epílogo de cualquier existencia. La presencia de las banderas rojas, alrededor del coche mortuorio, apunta este último homenaje en la línea de las reivindicaciones sociales de fines del siglo XIX, que apoyaba parte de los creadores contemporáneos.
El dibujo, estremecido por el empleo de una luz plateada que se desliza sobre las formas y las define con nitidez, intensifica la impresión de animación y de saturación del espacio, deseada por el pintor.