Médaillier : Triomphe de Mérovée

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Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Mathieu Rabeau
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Charles Guillaume Diehl
Médaillier : Triomphe de Mérovée
1867
cèdre, marqueterie de noyer, ébène et ivoire sur bâti de chêne ; bronze et cuivre argentés
H. 238,0 ; L. 151,0 ; P. 60,0 cm.
Achat en vente publique, 1973
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski
Charles Guillaume Diehl (1811 - 1885)
Artwork not currently exhibited in the museum
Más bien especializado en la realización de pequeños muebles y objetos, fue sin embargo el ebanista Diehl quien originó este imponente medallero, creado para la Exposición Universal de 1867. El dibujo de la forma, de la marquetería y de los bronces fue confiado a Brandely, las partes esculpidas son obra de Frémiet, mientras que Diehl aporta todos sus conocimientos a los chapados de cedro y de nogal, así como a la decoración de la marquetería. Muy destacado en la Exposición, los observadores tienen mucha dificultad para cualificar el estilo de este medallero. Se habla de "estilo merovingio", de "mueble galo" o también de "gran mueble galo de estilo románico".
El sentido del objeto reside en la decoración de bronce. En su única colaboración en el ámbito del mobiliario, a Frémiet le proponen sus temas de predilección: animales y soldados. El bajorrelieve central representa el triunfo de Meroveo tras la derrota de Atila en los Campos Cataláunicos en 451. Frémiet habría modificado el proyecto de Brandely para darles más importancia a los animales que a los personajes. Los bronces del marco amplifican el tema central, en particular el trofeo de armas francas entremezclado con muérdago, colocado por encima de la puerta. En medio de este conjunto, medallas evocan, como en los medalleros del siglo XVIII, la función del mueble.
Es probable que Diehl esperase vender este medallero al Emperador. La inspiración patriótica del tema puede en efecto gustar a Napoleón III que, al fundar el museo de los Soberanos en 1852, creó una sección de antigüedades merovingias. Sus esperanzas se vieron frustradas. El ebanista solo obtuvo además, por este mueble, y por los tres otros del mismo espíritu, que mostró este mismo año, una medalla de bronce, que rechazó. Pese a que estas creaciones fueron reconocidas como las más innovadoras de la Exposición, no ejercieron ninguna influencia posteriormente.
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