Prie-Dieu gothique

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Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© Musée d’Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Sophie Crépy
Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© Musée d’Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Sophie Crépy
Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© Musée d’Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Sophie Crépy
Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© Musée d’Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Sophie Crépy
Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Stéphane Maréchalle
Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Stéphane Maréchalle
Maison Alphonse Giroux
Prie-Dieu gothique
1867
ébène, émail champlevé sur alliage cuivreux doré, peinture sur cuivre (remploi), enluminure sur carton, ivoire (rapporté), textile
H. 165 ; L. 64 ; P. 64 cm
Achat, 2022
© RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Stéphane Maréchalle
Maison Alphonse Giroux
Oeuvre non exposée en salle actuellement

Ce prie-Dieu de style gothique fut présenté à l’Exposition universelle de 1867 par Duvinage et Harinkouck, à qui Alphonse-Gustave Giroux venait de céder son entreprise, d’où la présence des deux marques sur l’œuvre. Matérialisant les ambitions artistiques de la maison, il fut considéré non pas comme une « copie servile du moyen âge, mais une inspiration de cette époque unie au goût moderne »[1].